das plateau

Région Île-de-France

Je crois que le geste artistique est toujours une révélation de ce qui diverge, diffère du consensus. Mais ce “différent” qu’on montre est à mon sens commun à beaucoup, sinon à tous. Je crois qu’on écrit pour dire ce qui trouble. Le trouble, c’est ce que l’ordre social familial ne traite pas.
— Claudine Galéa

Créé en 2008*, Das Plateau développe une écriture scénique qui mêle théâtre, littérature, musique et arts visuels pour tenter de développer un langage qui creuse les champs de la perception et du sensible. À la recherche d’un « nouveau tragique », la beauté qu’ils mettent en œuvre sur le plateau porte à la fois la marque de la violence du monde et la possibilité d’un espoir.

Après avoir créé plusieurs spectacles qui prenaient pour point de départ les textes de Jacques Albert  (Cours les Prairies, Notre Printemps, Sig Sauer Pro, Le Bon Chemin et Dia de macho, vispera de nada), voici quelques temps que les projets de Das Plateau se portent sur des sujets liés au féminin, ce sont souvent des textes de femmes (Marie Darrieussecq avec Il faut beaucoup aimer les hommes en 2016, Pauline Peyrade avec Bois Impériaux en 2018 et Poings en 2020, Marine Chartrain avec Lac Artificiel qui sera créé en 2025 ou Milène Tournier avec Un jour sans vent (Une Orestie) texte en cours d’écriture pour une création en 25-26) qui sont toujours à la fois intenses et complexes formellement – défis lancés à la scène.

Si les spectacles de la compagnie s’organisent autour d’une tension entre langage et silence, littérature et déploiement spatial, temporalité narrative et temporalité contemplative, ils mettent en jeu par leur dispositif scénique, une multitude de statuts de la réalité et font de la scène un espace dans lequel est réorganisé la répartition habituelle entre le matériel et l’immatériel, entre la réalité et sa perception. Les spectacles de Das Plateau cherchent à mettre à jour le dessous des choses, ce qui ne peut se dire, ce qui dans la complexité du monde ne peut ni se dissoudre, ni se résoudre.

En multipliant les formats et les types de spectacles proposés (Pénélopes – formes in situ, Le Petit Chaperon rouge – spectacle tout public, Poings forme de plateau, etc.), Das Plateau cherche à s’adresser à un public le plus large et le plus varié possible.

Avec la sensibilisation aux formes contemporaines et la formation au cœur de sa démarche, l’équipe de Das Plateau intervient régulièrement dans les écoles supérieures d’art dramatique en France et à l’étranger et mène un soutien actif à l’émergence de jeunes artistes.

Das Plateau est conventionné par la DRAC Île-de-France, soutenu par la Région Île-de-France au titre de l’aide à la permanence artistique et culturelle.

En 2023-24, Le Petit Chaperon rouge, créé pour la 76e édition du Festival d’Avignon, sera en tournée en Suisse et dans toute la France. Poings de Pauline Peyrade poursuit également sa tournée, notamment dans le cadre du Focus que le Théâtre Silvia Monfort consacre à Das Plateau. Trois versions de Pénélopes (Montreuil, Marseille, Oyonnax) formes légères et in-situ réalisées à partir de l’Odyssée d’Homère et d’entretiens d’habitantes de chaque territoire investi seront créées.

* Das Plateau a été fondé par Céleste Germe (architecte/metteuse en scène), Maëlys Ricordeau (comédienne), Jacob Stambach (auteur/compositeur) et Jacques Albert (auteur/danseur).

 

Das Plateau est conventionné par la DRAC Île-de-France, soutenu par la Région Île-de-France au titre de l’aide à la permanence artistique et culturelle.

Nouvelle création

Laura et Salomé sont inséparables. Un samedi soir, au milieu de l’été, les deux adolescentes marchent le long de la route départementale, à la lisière de la forêt, à la recherche d’un endroit où faire la fête. Avec pour seul repère la signalétique fluorescente du bitume, elles cherchent leur chemin et finissent par se perdre. À la dérive dans un monde qui tangue, de plus en plus loin dans la nuit, dans l’obscurité de leurs souvenirs, elles assistent à leur propre chute et à l’effritement de leur relation.

Dans un jeu de double et de miroir vertigineux, Céleste Germe met en scène Maëlys Ricordeau qui interprète les deux jeunes femmes dans une performance impressionnante. Hypnotique, le dispositif sonore et visuel nous plonge dans les méandres de la mémoire de Laura et Salomé, qui rôdent au coeur de la forêt, au coeur de la nuit, vers leurs traumas. Là où l’amitié et l’amour se jouent d’abord et avant tout avec soi.

Un spectacle radical et émouvant, dans lequel les ombres et les mirages jouent avec une lumineuse et bouleversante actrice

Texte Marine Chartrain, Éditions Théâtre Ouvert I Tapuscrit
Mise en scène Céleste Germe
Collaboratrice artistique et jeu Maëlys Ricordeau
Musique J. Stambach
Dispositifs son et vidéo Jérôme Tuncer
Scénographie James Brandily
Images Flavie Trichet-Lespagnol
Lumière Sébastien Lefèvre
Régie générale Pauline Samson

Production Das Plateau et Prémices – Office de production artistique et solidaire pour la jeune création
Coproduction et résidence Théâtre Ouvert – Centre national des dramaturgies contemporaines

Lac artificiel a été écrit en 2021. Il est lauréat de l’aide à l’écriture Beaumarchais en 2022, a reçu les encouragements ARTCENA en 2023.

Spectacle créé le 31 mars 25 à Théâtre Ouvert

Retraverser l’Orestie aujourd’hui. Ce chemin de la barbarie à la justice auxquels sont joints la naissance grecque du théâtre et de la démocratie ; ce texte fondateur qui interroge la violence des puissants comme celle des personnes en situation de domination ; cet incroyable triptyque qui fait tourner les points de vue et mieux comprendre les êtres, leur ambivalence et leurs douleurs ; ce conte que les humains ont besoin de lire et relire, palimpseste d’interprétations, de vengeance et de réparation, qui interroge la guerre entre les peuples, les rapports entre les hommes et les femmes, la légitimité du pouvoir, la colère, la violence et sa transmission de générations en générations, mais aussi le besoin humain de transcendance par la poésie et par la fiction – nous souhaitons que Milène Tournier, poétesse et dramaturge, puisse les traverser. Et entretenir, de son écriture d’une si grande force, à la fois narrative et fragmentaire, elliptique et visionnaire, émouvante et drôle, un dialogue avec celle – subjuguante de beauté – d’Eschyle.

Nous souhaitons parvenir à faire voir et entendre les vents tragiques qui se lèvent et qui emportent le monde, les appels à la justice qui fonde notre humanité mais qui, de toutes parts, est questionnée, les guerres qui naissent et renaissent, les cendres de celle de Troie et le brasier qui reprend, le sacrifice des femmes et l’orgueil des hommes, le personnage de Clytemnestre enfin, si souvent décrié – femme politique, mère, épouse, aimante, amante – dans toute sa force, son intelligence, son courage.

Avec cette nouvelle création, Das Plateau plonge dans le tragique, dans l’antique et le mythologique pour créer un spectacle sur les feux d’aujourd’hui, ceux qui rôdent et ceux qui s’embrasent.
Trois décors, dont un qui brûle, 6 acteurs qui tourneront de rôles en rôles, une création sonore et musicale associant flûtes et guitares frottées, composeront un poème-fresque – 1h45 – dont l’intensité sonore et visuelle affirmera, en trois temps comme les trois livres, l’infinie délicatesse et la tragédie de l’humanité, notre barbarie et notre beauté.

Texte Milène Tournier, Eschyle
Mise en scène Céleste Germe
Avec Aurélien Gschwind, Antoine Oppenheim, Maëlys Ricordeau et trois autres acteurs et actrices
Collaboration artistique Maëlys Ricordeau
Musique J. Stambach
Scénographie James Brandily
Images Flavie Trichet-Lespagnol
Son et vidéo Jérôme Tuncer
Lumière Sébastien Lefèvre
Dramaturgie Marion Stoufflet
Costumes Sabine Schlemmer
Régie générale et plateau Pablo Simonet

Production Das Plateau 
Coproduction  Théâtre Public de Montreuil CDN, Théâtre Joliette – Marseille, Théâtre de la Ville – Paris
Avec le soutien au compagnonnage avec un auteur DGCA  

Répertoire en tournée

Le Petit Chaperon rouge est l’un des premiers contes qu’on lit aux enfants, l’un des plus connus. C’est celui-là que nous voulons faire entendre à nouveau. Pour la complexité et l’ambivalence des sujets qu’il traverse, aussi denses et noueux que les arbres centenaires, pour l’épaisseur poétique de l’histoire qui perdure en de longs sillons dans nos imaginaires, pour l’imagerie : la forêt profonde, la tâche rouge, le soleil qui éclate dans les canopées sombres.

Mais nous voulons aussi montrer une nouvelle fois Le Petit Chaperon rouge pour faire entendre la version puissante et positive des Frères Grimm dans laquelle cette petite fille qui se promène joyeusement dans la forêt n’est pas imprudente ou naïve mais au contraire vaillante et courageuse. Pour faire entendre ce récit initiatique, qui, par-delà les temps et les générations, magnifie la solidarité féminine et raille les affreux loups méchants. Pour faire redécouvrir ce conte émancipateur, beaucoup plus subversif qu’on ne le pense, qui affirme le droit au mystère, au plaisir, à la liberté et à la peur.

Pour la première fois Das Plateau propose un spectacle tout public. Un spectacle dont l’intensité visuelle et sonore ouvre des paysages sensibles et inédits, à la fois légendaires et quotidiens, imaginaires et familiers, intrigants et rassérénants. Un spectacle envoûtant, un spectacle d’aujourd’hui pour les enfants de maintenant.

«On s’enfonce avec bonheur dans cette forêt-là, où le visible et l’invisible vont main dans la main.» Le Monde

«Un petit bijou de délicatesse et d’intelligence (…) Ce Petit Chaperon rouge est un véritable émerveillement tout public .» Les Inrockuptibles

«Si la morale de l’histoire et la manière dont Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau la racontent sont joyeuses, la façon de la camper est magnifique.»
La Terrasse

«Une pépite d’une beauté esthétique bouleversante qui creuse aux racines du conte des frères Grimm pour mieux en extraire la vision optimiste et roborative.» Sceneweb

Le Petit Chaperon rouge
Texte de Jacob et Wilhelm Grimm Traduction de Natacha Rimasson-Fertin, Éditions Corti
et des fragments de Futur, ancien, fugitif de Olivier Cadiot, (Éditions POL)

Mise en scène Céleste Germe

Avec Antoine Oppenheim et Maëlys Ricordeau
en alternance avec Pablo Jupin et Lalou Wisocka

Collaboratrice artistique Maëlys Ricordeau
Composition musicale et direction du travail sonore 
J. Stambach
Scénographie James Brandily
Création vidéo Flavie Trichet-Lespagnol
Dispositif son, vidéo et régie Jérôme Tuncer
Création lumière Sébastien Lefèvre
Costumes Sabine Schlemmer
Conseils dramaturgiques Marion Stoufflet
Assistanat à la mise en scène Mathilde Wind
Régie générale et plateau Pablo Simonet ou Jules Guy
Régie son et vidéo Louis Petit ou Julien Pittet ou Jérôme Tuncer
Régie lumière Lila Burdet ou Virginie Watrinet ou Sébastien Lefèvre
Réalisation des sculptures Julia Morlot et Jeremy Page 
Suivi construction décor Benjamin Bertrand
Crédits Photos
 Simon Gosselin

Production Das Plateau
Coproduction et résidence Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, Le Grand R – Scène Nationale de La Roche sur Yon
Coproduction Théâtre Nouvelle Génération centre dramatique national (Lyon), Nanterre-Amandiers CDN, La Comédie de Colmar Centre dramatique national Grand Est Alsace, Comédie, Centre dramatique national de Reims, Théâtre Brétigny, scène conventionnée d’intérêt national arts & humanités, Théâtre Gérard Philipe, Centre dramatique national de Saint-Denis, La Villette, Paris – Initiatives d’artistes, CRÉA / Festival Momix / Scène conventionnée d’Intérêt National « Art Enfance Jeunesse » (Kingersheim), Théâtre National de Bretagne (Rennes), Le Grand Bleu, Scène conventionnée d’Intérêt National Art, Enfance et Jeunesse (Lille), Festival d’Avignon
Résidence Ferme du Buisson scène nationale de Marne-la-Vallée
Soutiens Fonds de production de la DGCA et le Département du Val-de-Marne 
Remerciements Emilie Henin

Spectacle disponible en LSF et en langue anglaise

Spectacle créé du 15 au 18 juillet 2022, pour la 76e édition du festival d’Avignon

Épouse fidèle d’Ulysse, Pénélope est aussi cette femme qui refuse l’ordre établi qui voudrait qu’en l’absence de son époux présumé mort, elle se remarie. Contre tous les prétendants qui pillent sa maison, elle ruse pour imposer sa volonté. Impérieuse Pénélope, est-elle cette « épouse modèle » ou cette femme libre qui exerce son libre-arbitre ? Pénélopes, forme itinérante et in-situ, se propose, à partir d’interviews d’habitantes du territoire et avec le texte d’Homère, d’écouter ce que les femmes disent. Si la société formule en même temps qu’une obligation à la liberté, l’interdiction de l’exercer, comment vivent-elles ce paradoxe et qu’en disent-elle ? Comment se sentent-elles perçues par leurs proches, par la société ? Entre toutes les injonctions qui leur sont faites, quels chemins parviennent-elles à se frayer ?

En s’appuyant sur un dispositif sonore et visuel, en faisant dialoguer littérature et documentaire, présent et passé, mythe et faits divers, Pénélopes interroge, au plus près des habitants et avec eux, les femmes, la manière dont elles vivent les assignations, la manière dont elles imposent leurs choix.

Maëlys Ricordeau, qui transmet ces paroles dans un travail d’interprète virtuose, nous permet d’accéder à la singularité et à l’universalité des questions traversées, déployant avec le public un courant émotif puissant, à la fois lié à l’hyper-proximité de la forme et à son dépassement.

« S’appuyant sur le dispositif sonore et visuel de la mise en scène de Céleste Germe, la comédienne Maëlys Ricordeau, jouant sur les métamorphoses et les prouesses technique de jeu, réalise une performance étonnante. C’est remarquable.» L’Œil d’Olivier

« C’est sans filtres, dans une proximité que ne permet pas même la plus minuscule des théâtres de poche, que les spectateurs rencontrent Maëlys Ricordeau. À la frontière entre incarnation et simple restitution de paroles, son jeu donne aussi à approcher l’endroit où commence le théâtre.» Sceneweb

Collection de formes in situ d’après L’Odyssée d’Homère et avec des entretiens avec des femmes du territoire

Mise en scène Céleste Germe
Collaboratrice artistique et jeu Maëlys Ricordeau
Composition musicale et montage des paroles 
J. Stambach
Voix Habitantes du territoire

Régie générale Pauline Simon
Régie son et vidéo Emile Denize en alternance avec Thomas Carpentier
Assistanat à la mise en scène, Mathilde Wind et Pénélope Hervouet
Interviews menées par Céleste Germe et Maëlys Ricordeau

Crédit Photos Flavie Trichet-Lespagnol

Production Das Plateau
Coproduction et soutiens de la version initiale Espace Culturel Boris Vian avec le soutien la Ville des Ulis, le département de L’Essonne, la Région Île-de-France et la DRAC Ile-de-France.
Production de versions Espace culturel Boris Vian (Les Ulis), Le Parvis Scène Nationale de Tarbes-Pyrénées, Nanterre-Amandiers – CDN, Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, Théâtre Nouvelle Génération centre dramatique national (Lyon), Théâtre Brétigny, scène conventionnée d’intérêt national arts & humanités avec le Conseil départemental de l’Essonne, le Préau-CDN de Vire, Théâtre Public de Montreuil, CDN, Théâtre Joliette (Marseille), Centre Culturel Aragon (Oyonnax)

La collection de Pénélopes est actuellement composée de dix versions : Tarbes, Ulis, Nanterre, Vitry, Lyon, Brétigny, Vire, Montreuil, Marseille et Oyonnax

Deux versions du spectacle sont disponibles :
– L’une en diffusion simple, qui a été créée le 8 juin 2021 à la Maison pour Tous de Cortdimanche aux Ulis
– L’autre produite spécialement pour le lieu d’accueil, d’après des entretiens de femmes du territoire

Spectacle créé en juin 2021 aux Ulis

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Une rave party, un homme et une femme se rencontrent, se lient. Quelques années après, la femme fuit. Poings raconte une histoire d’amour toxique. C’est une histoire d’emprise et de domination qui se joue à l’abri des regards, dans le huis-clos d’une relation, au cœur de soi. Quelle dissociation profonde l’imprégnation quotidienne de la violence produit-elle, quel déchirement, quel dédoublement ?
En cinq parties magistrales, Pauline Peyrade pose frontalement la question du viol conjugal et interroge avec une puissance poétique rare, sans surplomb aucun, la complexité et l’ambivalence de cet acte terrible, le trauma et la capacité de résilience.
Après Bois Impériaux créé en 2018, Das Plateau poursuit son chemin auprès de Pauline Peyrade et s’empare de ce polyptyque brillant pour créer un spectacle mystérieux et magnétique, dont l’intensité visuelle, scénographique et sonore dialogue avec cette écriture captivante et nécessaire, d’une immense actualité.

«Aussi politique que salutaire, Poings documente l’urgence vitale d’éclater la bulle des intimités toxiques.» Les Inrockuptibles

«Rien ne se voit mais tout se dit dans ce spectacle frappant, porté par les deux comédiens et mis en scène avec autorité par Céleste Germe, qui sait plier le théâtre à sa loi.» Télérama

«Sur un rythme implacable, Maëlys Ricordeau suspend soudain la salle immobile sur le fil d’une émotion unique, l’un de ces instants magiques dont seul le théâtre, écrin d’une humanité face à elle-même, détient le secret.» La Croix

Texte de Pauline Peyrade 
Mise en scène Céleste Germe

Avec Maëlys Ricordeau et Antoine Oppenheim

Composition musicale et direction du travail sonore 
J. Stambach
Scénographie James Brandily
Lumières Sébastien Lefèvre
Son et vidéo Jérôme Tuncer
Vidéo Flavie Trichet-Lespagnol
Régie générale Benjamin Bertrand
Régie plateau Maxime Papillon 
Assistanat à la mise en scène Léa Tuil
Assistanat à la scénographie Laure Catalan
Crédits photos Simon Gosselin

Production Das Plateau
Coproduction et résidence Espace Culturel Boris Vian avec le soutien la Ville des Ulis, le département de L’Essonne, la Région Île-de-France et la DRAC Ile-de-France / Le Théâtre National de Bretagne (Rennes) / Le Théâtre du Nord – CDN / Le CDN d’Orléans-Loiret / Centre-Val de Loire
Coproduction Le Parvis – Scène Nationale de Tarbes, le Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine
Workshop d’expérimentation scénographique Les SUBS et l’ENSATT avec le soutien à la recherche en théâtre de la DGCA

Avec l’aide à la production de la DRAC Île-de-France et la participation du DICRéAM
Action financée par la Région Ile-de-France

Créé le 10 mars 2021 au Théâtre National de Bretagne – scène nationale, Rennes.

Das Plateau remercie Clémence Boudot, Camille Baraud et Eric Schecter ainsi que la section scénographie de l’ENSATT et particulièrement Alexandre de Dardel, Mathis Brunetbahut, Adèle Colle, Coline Gaufillet, Ariane Germain, Manon Terranova, Ariane Testar

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CALENDRIER DAS PLATEAU

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décembre 2023
janvier 2024
Jan 22
février 2024
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Fév 16
Fév 21
mars 2024
avril 2024
Avr 05
Avr 26
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mai 2024
Mai 30
juin 2024

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